2018年3月28日星期三

Radiographie dentaire. Mise au point de l’ODQ

L’Ordre des dentistes du Québec tient à faire une mise au point à la suite de la publication dans la revue Cancer d’un article intitulé « Dental X-Rays and Risk of Meningioma », dont les conclusions ont été reprises récemment par plusieurs médias du Québec. Rappelons que cet article signé par des épidémiologistes de l’université Yale conclut que les radiographies dentaires augmenteraient le risque de survenue d’un méningiome, une tumeur cérébrale bénigne. Or, l’Ordre des dentistes remet en question la validité de certains paramètres de l’étude ayant conduit à la rédaction de cet article. Quand vous avez besoin de comprendre en détail, vous pouvez chercher plus de turbine dentaire et turbine avec lumièresur notre site.



À titre d’exemple, les chercheurs soutiennent que les radiographies dentaires représentent la principale source artificielle d’exposition aux rayonnements ionisants aux États-Unis, une forme de radiation associée à une hausse du risque de certaines tumeurs cérébrales. En réalité, les rayonnements ionisants liés aux radiographies dentaires ne représentent pas plus de 3 % à 5 % des rayonnements non naturels auxquels la population est exposée, l’autre 95 % provenant des examens radiologiques médicaux. Caméra intra-orale

L’Ordre tient à rappeler que la fréquence à laquelle un individu a besoin de radiographies dentaires dépend de son état de santé buccodentaire et que la décision de prendre ou non une radiographie repose essentiellement sur le jugement clinique du dentiste, à la suite de l’examen du patient. Elle ne saurait en aucun cas être déterminée à l’avance. Rappelons que le dentiste est le seul professionnel de la santé buccodentaire formé pour poser un diagnostic et établir un plan de traitement. 

De plus, le nombre de radiographies dentaires subies par les participants de l’étude, qui étaient âgés de 20 à 79 ans, n’a pu être validé, puisque les chercheurs se sont fiés uniquement à la mémoire des sujets. Or, l’expérience en cabinet démontre que les patients ont une très mauvaise mémoire quand vient le temps d’estimer le nombre d’examens radiographiques subis par le passé et qu’ils ont de la difficulté à faire une distinction entre les différents types de radiographie dentaire. On peut également remettre en question la méthodologie de cette étude qui indique une corrélation positive entre les radiographies rétrocoronaires (bite-wing), le cliché panoramique et le méningiome, mais aucune corrélation significative entre ce dernier et l’examen radiologique de la bouche complète.







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