2018年3月9日星期五

La peur d’une LAMal Bis enterre l’assurance dentaire



Les votants ont donc enterré l’idée soutenue par la gauche, certains syndicats et plusieurs associations. Ceux-ci dénoncent les moyens financiers de leurs adversaires, ainsi que «les conséquences de 30 ans de néolibéralisme qui ont forgé le chacun pour soi dans notre société», selon les mots du député Solidarités Jean-Michel Dolivo. Le soutien du Conseil d’État, porté par le socialiste Pierre-Yves Maillard, n’a donc pas suffi. Et la victoire est claire pour les dentistes, les partis de droite et les associations patronales. Tous les acteurs de la campagne donnent un même argument: la hantise de créer une deuxième LAMal, où les primes augmentent année après année.  Quand vous avez besoin de comprendre en détail, vous pouvez chercher plus de turbine dentaire et turbine avec lumière sur notre site.



Et pourtant, les partisans disent que leur initiative était «un contre-modèle à la LAMal, avec un financement selon le revenu, au lieu d’une facture identique pour chaque tête», selon Pierre Conscience, le coordinateur de leur campagne. Pierre-Yves Maillard fait une analyse similaire: «Poser le principe d’une assurance obligatoire après vingt ans de dérives de la LAMal était compliqué. La crainte explique une partie du refus.» Même constat chez les opposants qui estiment que la cotisation salariale de l’assurance dentaire aurait représenté une «13e prime LAMal».  Pouvez-vous nous introduire la lampe opérationnelle LED scialytique KD-202D-3B ?

«Le peuple a bien compris que, dans un système où tout le monde paie, il y a un emballement», commente le député libéral-radical Guy-Philippe Bolay. Mais pour son président de parti, le conseiller national Frédéric Borloz, le problème était plus global: «L’incertitude sur les soins couverts par l’initiative et son coût élevé ont entraîné de nombreux doutes et, au final, un refus.» Désormais le comité d’initiative attend de voir les résultats des initiatives similaires à Genève, à Neuchâtel, en Valais et au Tessin. Mais dans l’immédiat il tourne son regard vers les gagnants du jour. «Au cours de cette campagne, les opposants sont passés d’un discours «Tout va bien» à un discours conscient des problèmes d’une catégorie de la population qui ne bénéficie pas des régimes sociaux pour couvrir ses soins dentaires», note Alberto Mocchi, le président des Verts.

La seule piste évoquée ce dimanche, c’est de créer des prêts sans intérêts, versés par l’État. «Cela permettrait de passer un cap difficile dans une vie, explique Guy-Philippe Bolay. Cela pourrait se faire sur le modèle de l’assistance judiciaire, pour ceux qui peinent à payer les frais de justice.» Les dentistes, eux, militent pour améliorer la prise en charge des personnes âgées dans les EMS. Une autre piste existe, mais pour les enfants: «Il existe une disparité dans les soins dentaires scolaires et le soutien financier aux soins dentaires fournis par les communes.






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