2018年3月14日星期三

Implants dentaires : l’effet néfaste des antidépresseurs


Les patients sous antidépresseurs sont deux fois plus à risque de rencontrer des problèmes lors de la pose d’un implant dentaire. Cette conclusion découle d’une étude réalisée par une équipe de l’Ecole de médecine dentaire de l’université McGill (Montréal). Elle a examiné les dossiers médicaux de patients accueillis dans une clinique dentaire entre 2007 et 2013 pour la pose d’un ou de plusieurs implants. Selon les cas, le suivi a duré entre trois et soixante-sept mois. Quand vous avez besoin de comprendre en détail, vous pouvez chercher plus de turbine dentaire et turbine avec lumière sur notre site.




Le résultat montre que les personnes qui ont suivi un traitement antidépresseur s’exposent à un risque deux fois plus important d’échec de l’implantation. En cause : l’effet de ces médicaments – singulièrement les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), prescrits très couramment – sur la densité osseuse, et à partir de là sur l’ancrage de l’implant dentaire. Quelles sont les caractéristiques de la lampe de blanchiment dentaire Tulip 200B ?

Les chercheurs indiquent que leur étude ne permet pas pour le moment de déterminer la dose d’ISRS susceptible de provoquer cet effet négatif, que les auteurs considèrent comme « presque aussi dommageable que le tabagisme ». Ils ajoutent que d’autres travaux doivent être conduits afin d’approfondir le sujet. Néanmoins, « les personnes qui prennent ces antidépresseurs et qui envisagent de recevoir un implant dentaire doivent évaluer précisément avec le praticien les chances de réussite du traitement ».

Il est connu que les antidépresseurs de la famille des "inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine" (ISRS) réduisent la formation osseuse et augmentent le risque de fracture. Mais pas uniquement. Des scientifiques de l’université Mc Gill à Toronto ont analysé des données venant de 490 patients qui avaient reçu 916 implants dentaires.  Les résultats démontrent que la prise d’ISRS double le taux d’échec de l’implant. Les chercheurs s’attendaient à ce qu’il y ait une influence. 

En effet, on sait que la prise de médicaments a un impact négatif sur la formation osseuse. Mais ils ne pensaient pas que la portée de l’impact allait être quasiment similaire au risque provoqué par le tabac ! Malgré tout, les chercheurs ont indiqué qu’il n’était pour l’heure pas possible d’évaluer la posologie des médicaments posant un risque. Donc, « avant toute pose d’implant dentaire, les patients prenant des ISRS doivent consulter leurs médecins », ont souligné les chercheurs canadiens.








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