2017年7月28日星期五

Santé bucco dentaire: 8pays africains se liguent contre le noma

La santé bucco-dentaire a fait, hier jeudi, l’objet d’une rencontre des représentants de huit pays africains investis contre le noma (une affection défigurant le visage et pouvant provoquer la mort chez les enfants entre deux et six enfants) pour l’élaboration d’un plan triennal de lutte. Selon les experts médicaux, cette pathologie, un problème de santé publique, est le quatrième fléau mondial derrière le paludisme, le sida et les maladies cardiovasculaires. Quand vous souhaitez savoir beaucoup, vous pouvez chercher plus de eclairage dentaire sur outil dentiste.



Le directeur général de la santé, Papa Amadou Diack a présidé l’ouverture des travaux pour la mise en place d’un plan triennal de lutte. La traque ou le front contre le noma préoccupe, selon lui, le Sénégal. Cette volonté reste liée aux efforts entrepris dès 2003 pour abriter le premier atelier pour l’élaboration de plans nationaux de lutte contre le noma au niveau de six pays Ouest africains ( Sénégal , Bénin , Burkina Faso, Mali , Niger ), la Guinée-Bissau et la Cote d’ivoire ont rejoint les rangs. 

Depuis 2011, les mesures préconisées restent le renforcement des capacités relatives à la prévention et la prise en charge des maladies bucco-dentaires comme le noma, à travers la formation des médecins, des sages –femmes et des relais communautaires. Ceci s’étend aussi à la sensibilisation, selon lui, et à la mobilisation autour de ces pathologies dont le noma, par l’organisation d’émissions radiotélévisées. Une volonté d’assurer la coordination des activités du plan d’action et une surveillance sur la supervision par le niveau central.

Le rappel des principales affections bucco-dentaires cite les caries, les maladies parodontales, les lésions traumatiques, les cancers et le noma. A en croire le directeur de la santé, les dites pathologies sont source de graves préjudices fonctionnels et sociaux. Ses explications présentent le noma comme une affection mutilante du visage. Cette dernière survient dans la petite enfance entre zéro et six ans. Ses traces remontent dans l’antiquité tout en persistant de nos jours dans les foyers de malnutrition et de pauvreté extrême. Ses conséquences, selon le directeur général de la santé restent la destruction des tissus osseux du visage.









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