2017年11月14日星期二

Le coût de l’assurance pour les soins dentaires fait peur

Tout comme le Conseil d’Etat, la majorité de la Commission de la santé du Grand Conseil (la droite et le MCG) estime qu’il faut refuser l’initiative 160 «Pour le remboursement des soins dentaires»: 10 voix contre, 5 pour. Portée par le Parti du travail (PdT), cette initiative propose la création d’une assurance obligatoire cantonale qui prendrait en charge les frais de dentiste de base.  Vous pouvez vérifier plus de Loupes dentaires sur outil dentiste



Le Grand Conseil genevois se déterminera, lui, lors de sa séance du 31 août. Les députés auront à l’esprit que l’initiative séduit largement puisqu’elle a recueilli 18 000 signatures. Ses chances de s’imposer en votation populaire sont donc réelles. Il est vrai que le premier réflexe est plutôt de se dire que c’est une bonne idée. Notamment parce que plusieurs études relèvent que de nombreux Genevois renoncent à des soins dentaires pour des raisons financières. Qu'est-ce que les machine de découpe ?

Toutefois, dès que l’on parle coût et mode de financement, l’anesthésie cesse de faire effet et une sourde douleur surgit. L’initiative prévoit en effet, pour les salariés, un prélèvement paritaire du type de celui qui existe pour l’AVS (1% assumé à parts égales) et, pour les autres, un financement par l’Etat. Le Conseil d’Etat vaudois a fait évaluer le coût qu’engendrerait une telle assurance: 300 millions de francs. 

Il y a en réalité un certain flou car tout dépendra de la liste des traitements qui seront remboursés. Selon les chiffres de l’Office fédéral de la statistique (OFS), chaque Suisse dépense en moyenne 43 francs par mois, ou 516 francs par an, pour soigner et entretenir ses petites quenottes. Globalement, cela pousse la facture à 4,2 milliards par an, dont les 80% sont assumés par les ménages. Les dents sont la seule partie du corps pour laquelle les soins ne sont pas couverts par la Loi sur l’assurance-maladie.

A l’unanimité, la Commission de la santé juge que le Grand Conseil doit élaborer un contre-projet. Si c’est le cas, Mauro Poggia a promis que le département y contribuerait. A l’instar du contre-projet vaudois, il devrait s’agir avant tout d’améliorer le système de prévention et d’accès aux soins.









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